Direction la Polynésie, et plus
précisément la petite île de Pukatapu où l'on retrouve le duo de choc :
Lilith, photographe et Maema, journaliste à la Dépêche de Papeete. Les
deux amies sont missionnées par le journal pour faire un reportage sur
la montée des eaux causée par le réchauffement climatique. Mais c'est
par une toute autre enquête qu'elles vont être happées sur cet atoll de
sable blanc, le jour où Lilith découvre, échouée sur la plage, une main
coupée.
Le mystère s'épaissit quand les habitants du village cherchent à lui faire croire qu'elle a du rêver, et que la main, qu'elle avait pris soin de cacher sous une pierre a disparu.
Parallèlement, un jeune homme ayant volé un voilier pour faire le tour du monde, se retrouve immobilisé dans l'étrange hôpital d'une ile inconnue, après le naufrage de son bateau. On lui dit qu'il a été amputé des deux pieds... La vie n'est pas un long fleuve tranquille sous les cocotiers, et les eaux turquoises du lagon n'abritent pas que du corail et des poissons tropicaux ! Lilith et Maeva vont tout faire pour comprendre ce que la poignée d'habitants de l'île, et plus particulièrement son curé leur cache.
Un chouette polar "noir-azur" sur lequel j'aimerais en dire plus. Mais afin de ne pas en déflorer le suspense, je vous encourage plutôt à le lire, la chute est étonnante !
Après Le bûcher de Moorea, j'ai été ravie de refaire un bout de chemin au bout du monde avec Lilith et Maema, et j'attends avec impatience de les retrouver dans un troisième opus, Le tiaré noir, qui paraîtra en 2021. Il faudra être patient !
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