La vie n'est pas aussi paradisiaque qu'on
pourrait le croire dans le lagon de Moorea... Alors que le festival des
danseurs du feu bat son plein au Ia Ora, Lilith, photographe, et son
amie Maema, journaliste, sont missionnées par le rédacteur en chef de La
Dépêche pour recueillir le maximum d'informations et prendre des photos
sensationnelles sur un abominable événement qui vient d'avoir lieu :
des jambes, bras et troncs humains ont été retrouvés calcinés sur un
bûcher... puis quatre têtes. Qui a bien pu commettre une telle horreur
et pourquoi cette mise scène ? Alors que les deux amies s'investissent
dans l'enquête, leur chemin va croiser celui de Naël, tueur en série
métropolitain en quête de son passé et plus particulièrement de celui de
son ex-femme.
Le bûcher de Moorea est ce que l'on appelle un polar "noir azur". Il s'agit d'un courant littéraire ultramarin faisan fi des décors de carte postale et de l'imaginaire paradisiaque que l'on se fait des îles, pour montrer la face sombre et l'envers du décor. L'horreur humaine peut aussi se cacher sous les cieux tropicaux de l'insularité Pacifique.
Le bûcher de Moorea est ce que l'on appelle un polar "noir azur". Il s'agit d'un courant littéraire ultramarin faisan fi des décors de carte postale et de l'imaginaire paradisiaque que l'on se fait des îles, pour montrer la face sombre et l'envers du décor. L'horreur humaine peut aussi se cacher sous les cieux tropicaux de l'insularité Pacifique.
"La littérature du Pacifique est un chant qui
porte loin la voix des anciens pour ouvrir des voies à la jeunesse. Ce
serait bien que le continent lui prête une oreille".
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